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Prenant sa source dans la commune de La Boissière-des-Landes, la rivière du Graon parcourt près d’une quinzaine de kilomètres avant de rejoindre le fleuve Lay à la limite des communes de Champ-Saint-Père, Saint-Vincent-sur-Graon et La Bretonnière-La Claye. Hostile à toute navigation, le cours du Graon a été très tôt investi par les activités humaines gourmandes en force de travail. Les principales infrastructures construites sur la rivière sont des moulins à eau : on en compte sept pour la deuxième moitié du XIXe siècle et presque autant pour l’Ancien Régime. Depuis la construction du barrage en 1972 sur la commune de Saint-Vincent-sur-Graon, le Graon sert principalement de réserve en eau potable pour les communes alentours.
Cours d’eau secondaires :
1293
Prieuré (Arch. Dép. de la Vendée, H 73, 361), d'après : DELHOMMEAU, Louis. Églises de Vendée : vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001. 2 vol. (224-232 p.) [Arch. dép. Vendée, BIB MEM 615/1-2]
doyenné
D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
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D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
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Diacre martyr à valence, Espagne (décédé en 305)
Antérieurement à la période 1791-février 1961, le bureau de contrôle des actes également celui de Moutiers-les-Mauxfaits. Toutefois, aucun document n'a été conservé pour ce bureau. La période est donnée à titre indicatif (durant l'ancien régime et la période révolutionnaire, certains bureaux ont pu fermer temporairement, obligeant les notaires à se tourner vers les bureaux voisins, voire à négliger la formalité de contrôle et d'enregistrement.)
Prieuré de Marigné, dépendant de l'abbaye de Saint-Jean d'Orbestier (Fichier historique du diocèse de Luçon, 1 Num 47/90), uni par la suite au séminaire de Luçon. Sa première attestation historique se trouve dans le cartulaire de l'abbaye d'Orbestier en 1182.
Le vocable de Saint-Sauveur apparait dans un document du Fichier historique du diocèse de Luçon en 1327 (1 Num 47/90, vue 7) et dans le pouillé d'Alliot en 1648[1]. Celui-ci attribue le prieuré à Saint-Jean d'Orbestier, mais le pouillé latin tiré du Livre rouge (XVIIIe siècle) à "Sancti Michaelis" (Saint-Michel-en-l'Herm ?) et le pouillé extrait de Dom Fonteneau au séminaire de Luçon (XVIIIe siècle). La dernière mention du prieuré de Marigné au sein du cartulaire d'Orbestier est de 1438.
En 1935, le trafic des voyageurs est supprimé entre Talmont-Saint-Hilaire et Champ-Saint-Père. Le ligne est définitivement fermé sur le tronçon Les Sables-d'Olonne - Talmont-Saint-Hilaire en 1949.
Source : Arch. dép. Vendée, C 49 : Bureau intermédiaire des Sables-d’Olonne. Tableau des paroisses et des arrondissements, 1787
Date exacte : 6 décembre 1943. Source : Arch. dép. Vendée, 1 W 50 : Rapports sur les visites communales du préfet (1941-1943)
Renseignements recueillis en avril 1951. Source : Arch. dép. Vendée, 21 W 925-926 : Dossiers communaux des Renseignements généraux (1948-1952)
Dates exactes : du 4 au 21 mars 1533. Source : Arch. dép. Vendée, 1 G 38 : Visites épiscopales des abbayes et prieurés, églises paroissiales et collégiales (1533-1534)