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Longue de plus de quatre-vingt kilomètres, la Boulogne prend sa source à la limite des communes des Essarts et de La Merlatière et s’écoule en direction du nord avant de se jeter dans le lac de Grand-Lieu situé en Loire-Atlantique. Son cours sinueux ne permet aucune navigation mais permet l’installation d’ouvrages hydrauliques comme les moulins à eau. On en recense vingt-et-un pour la deuxième moitié du XIXe siècle (cinq pour la commune des Lucs-sur-Boulogne, quatre pour celle de Saint-Denis-la-Chevasse) et un peu moins d’une vingtaine à la charnière des XVIIe et XVIIIe siècles.
Cours d’eau secondaires :
1306
Avant 1306, église "de Boant" (Gauthier de Bruges), d'après : DELHOMMEAU, Louis. Églises de Vendée : vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001. 2 vol. (224-232 p.) [Arch. dép. Vendée, BIB MEM 615/1-2]
doyenné
D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
doyenné
D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
doyenné
Abbé fondateur des monastères de Jumièges et de Noirmoutier
Les marches se forment progressivement au cours du Moyen Age. Il semble que leur constitution se soit achevée lors de la réunion des comtés de Bretagne et de Poitou dans la main des Plantagenêts. Le premier acte officiel attestant l’existence des Marches communes est le traité d’alliance conclu en 1372 entre Jean IV, duc de Bretagne, et le roi d’Angleterre Edouard III. Comme les marches communes, les marches avantagères dépendent des deux provinces du point de vue de la souveraineté et de la suzeraineté. Mais seul le seigneur de la province dite « avantagère », en l’occurrence le Poitou, jouit des droits de justice.
D’après : ANTOINE, Annie. Quelques éléments explicatifs de l'attitude des Marchetons pendant la Révolution. In : Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée. (1975), p. 60-61 [Arch. dép. Vendée, BIB PC 16]
Antérieurement à la période 1795-septembre 1961, le bureau de contrôle des actes étaient ceux de Montaigu puis Rocheservière. Toutefois, aucun document n'a été conservé pour ces bureaux. Pour la période 1784-1791, ce sont ceux de Vieillevigne ou Saint-Colomban (Loire-Atlantique). Les périodes sont données à titre indicatif (durant l'ancien régime et la période révolutionnaire, certains bureaux ont pu fermer temporairement, obligeant les notaires à se tourner vers les bureaux voisins, voire à négliger la formalité de contrôle et d'enregistrement.)
Fondée, au début du XVIIIe siècle, par saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Maison mère : Saint-Laurent-sur-Sèvre.
Renseignements recueillis en janvier 1951. Source : Arch. dép. Vendée, 21 W 925-926 : Dossiers communaux des Renseignements généraux (1948-1952)
Dates exactes : du 1er au 17 juin 1534. Source : Arch. dép. Vendée, 1 G 38 : Visites épiscopales des abbayes et prieurés, églises paroissiales et collégiales (1533-1534)