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Pas de nom officiel, parfois nommés les Palauds ou Palots
La commune nouvelle de Montaigu-Vendée est créée le 1er janvier 2019 par absorption des communes de Boufféré, la Guyonnière, Montaigu, Saint-Georges-de-Montaigu et Saint-Hilaire-de-Loulay.
Le chef lieu de Montaigu-Vendée est situé à Montaigu.
La population de Montaigu-Vendée est de 20744 habitants (1er janvier 2020).
La Grande-Maine prend sa source dans la commune des Herbiers près du Petit-Bourg et s’écoule en direction du nord-est. Elle rejoint la rivière Petite-Maine à Saint-Georges-de-Montaigu pour former la Maine. Impraticable pour la navigation, des moulins à eau se sont très tôt installés tout au long de son cours : on en dénombre une dizaine au XVIIIe siècle et presque autant à la fin du XIXe siècle. Depuis les années 1990, la Grande-Maine approvisionne en eau potable les communes alentours grâce au barrage de la Bultière situé dans la commune de Chavagnes-en-Paillers.
Prenant sa source dans la commune des Essarts, la Petite-Maine traverse Chauché, La Rabatelière et Chavagnes-en-Paillers, avant de rejoindre la Grande-Maine au nord de la commune de Saint-Georges-de-Montaigu pour former la Maine. Elle sert de frontière entre Saint-André-Goule-d'Oie et Chavagnes-en-Paillers en arrivant dans cette commune. Impropre à la navigation, la rivière Petite-Maine a été utilisée comme force de travail par les populations locales. Quelques moulins à eau sont présents le long de la rivière à la fin de l’Ancien Régime ; pour la fin du XIXe siècle, on en compte cinq auxquels vient s’ajouter une teinturerie sur la commune des Herbiers.
Cours d’eau secondaires :
562
"apud Durinum, duplex monasterium" (Ann. OSB, I 150), d'après : DELHOMMEAU, Louis. Églises de Vendée : vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001. 2 vol. (224-232 p.) [Arch. dép. Vendée, BIB MEM 615/1-2]
doyenné
D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
doyenné
Martyr à Lydda (Palestine) (décédé en 303)
Les marches se forment progressivement au cours du Moyen Age. Il semble que leur constitution se soit achevée lors de la réunion des comtés de Bretagne et de Poitou dans la main des Plantagenêts. Le premier acte officiel attestant l’existence des Marches communes est le traité d’alliance conclu en 1372 entre Jean IV, duc de Bretagne, et le roi d’Angleterre Edouard III. Comme les marches communes, les marches avantagères dépendent des deux provinces du point de vue de la souveraineté et de la suzeraineté. Mais seul le seigneur de la province dite « avantagère », en l’occurrence le Poitou, jouit des droits de justice.
D’après : ANTOINE, Annie. Quelques éléments explicatifs de l'attitude des Marchetons pendant la Révolution. In : Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée. (1975), p. 60-61 [Arch. dép. Vendée, BIB PC 16]
Antérieurement à la période an III (1795)-1961, le bureau de contrôle des actes était aussi celui de Montaigu. Toutefois, aucun document n'a été conservé pour ce bureau. La période est donnée à titre indicatif (durant l'ancien régime et la période révolutionnaire, certains bureaux ont pu fermer temporairement, obligeant les notaires à se tourner vers les bureaux voisins, voire à négliger la formalité de contrôle et d'enregistrement.)
Prieuré d'hommes dépendant de l'abbaye de Saint-Jouin-de-Marnes (Deux-Sèvres). Existence attestée en 1666. (Durivum : confluent des deux Maines) ancienne abbaye double de Bénédictins (femmes : "le Grand logis"; hommes : école actuelle), fondée en 562 par St Martin de Vertou qui y mourut vers 601[1]. Elle devient ensuite en 843 prieuré conventuel de Saint-Jouin-de-Marnes, comme en témoignent plusieurs documents du Fichier historique du diocèse de Luçon (1362, vue 6). Le prieuré est déjà présent dans le Grand Gauthier (début XIVe s.), mais le pouillé d'Alliot (1648) est le premier à mentionner clairement sa dépendance de Saint-Jouin de Marnes. Le prieuré devait être à l'ouest de l'église actuelle dédiée à Saint-Georges où l'on trouve une "rue de l'abbaye" et une "rue du prieuré" entourant le cimetière, qui, vu son emplacement au centre du village, doit être d'origine ancienne.
Fondée, au début du XVIIIe siècle, par saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Maison mère : Saint-Laurent-sur-Sèvre.
Le tronçon Sainte-Hermine - Luçon ouvre en 1900. En 1901, ouvrent les tronçons Montaigu - L'Oie et Luçon - L'Aiguillon-sur-Mer. La ligne est complètée en 1908 par l'ouverture du tronçon L'Oie - Sainte-Hermine.
La fermeture de la ligne sera progressive : d'abord de Montaigu à Sainte-Hermine en 1935, puis jusqu'à Triaize en 1947 et enfin jusqu'à L'Aiguillon-sur-Mer en 1949.
Dans la nuit du 23 au 24 août 1832 : menaces de morts, vol de fusil, coups et blessures contre Herbreteau, propriétaire à la Babinière. A la Chapellière, la même bande de chouans dérobe plusieurs fusils de chasse, entre par effraction chez le charpentier Brachet et lui vole un fusil et des munitions. - Nuit du 1er au 2 septembre 1832 : menaces de mort et vol à main armée chez Jaunet, électeur constitutionnel ; chez Martineau, propriétaire à la Caffinière, menaces de mort et vol d'argent (240 francs). Source : Arch. dép. Vendée, 21 J 4 : canton de Montaigu.
Renseignements recueillis en février 1951. Source : Arch. dép. Vendée, 21 W 925-926 : Dossiers communaux des Renseignements généraux (1948-1952)
Dates exactes : du 1er au 17 juin 1534. Source : Arch. dép. Vendée, 1 G 38 : Visites épiscopales des abbayes et prieurés, églises paroissiales et collégiales (1533-1534)
Dates exactes : du 1er au 17 juin 1534. Source : Arch. dép. Vendée, 1 G 38 : Visites épiscopales des abbayes et prieurés, églises paroissiales et collégiales (1533-1534)