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Guyons, Guyonnes [1]
La commune nouvelle de Montaigu-Vendée est créée le 1er janvier 2019 par absorption des communes de Boufféré, la Guyonnière, Montaigu, Saint-Georges-de-Montaigu et Saint-Hilaire-de-Loulay.
Le chef lieu de Montaigu-Vendée est situé à Montaigu.
La population de Montaigu-Vendée est de 20744 habitants (1er janvier 2020).
1306
Avant 1306 "de Guioneria" (Gauthier de Bruges), d'après : DELHOMMEAU, Louis. Églises de Vendée : vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001. 2 vol. (224-232 p.) [Arch. dép. Vendée, BIB MEM 615/1-2]
D'après : AILLERY, E. Pouillé de l'évêché de Luçon. Fontenay-le-Comte : Impr. Robuchon, 1860. XXXVI-211 p. [Arch. dép. Vendée, BIB 1569]
D'après : AILLERY, E. Pouillé de l'évêché de Luçon. Fontenay-le-Comte : Impr. Robuchon, 1860. XXXVI-211 p. [Arch. dép. Vendée, BIB 1569]
doyenné
D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
doyenné
Apôtres
Les marches se forment progressivement au cours du Moyen Age. Il semble que leur constitution se soit achevée lors de la réunion des comtés de Bretagne et de Poitou dans la main des Plantagenêts. Le premier acte officiel attestant l’existence des Marches communes est le traité d’alliance conclu en 1372 entre Jean IV, duc de Bretagne, et le roi d’Angleterre Edouard III. Comme les marches communes, les marches avantagères dépendent des deux provinces du point de vue de la souveraineté et de la suzeraineté. Mais seul le seigneur de la province dite « avantagère », en l’occurrence le Poitou, jouit des droits de justice.
D’après : ANTOINE, Annie. Quelques éléments explicatifs de l'attitude des Marchetons pendant la Révolution. In : Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée. (1975), p. 60-61 [Arch. dép. Vendée, BIB PC 16]
Antérieurement à la période an III-1961, le bureau de contrôle des actes était aussi celui de Montaigu. Toutefois, aucun document n'a été conservé pour ce bureau. La période est donnée à titre indicatif (durant l'ancien régime et la période révolutionnaire, certains bureaux ont pu fermer temporairement, obligeant les notaires à se tourner vers les bureaux voisins, voire à négliger la formalité de contrôle et d'enregistrement.)
La plus ancienne mention historique de Melay que l’on connaisse se trouve dans la charte de fondation de l’aumônerie de Montaigu en 1180.
L’ancienne chapelle avait été desservie par l’abbé de La Roche-Saint-André de 1751 à la Révolution. Ruinée lors de ces événements, elle fut restaurée par l’abbé Paul de Suyrot, bénite en 1867 et dédiée à l’Immaculée-Conception.
L’abbé de Suyrot fait don en 1897 de Melay à la Congrégation des Pères Passionistes mais les congrégations ayant été supprimées, la propriété est vendue aux enchères en 1907 (Arch. dépt. Vendée, 36 J 66, affiches des ventes judiciaires). Les nouveaux propriétaires, la famille Plessis de La Bruffière, laissent les Pères de Chavagnes y installer leur juvénat pendant la Première Guerre mondiale. Les Pères Passionistes occupent de nouveau les locaux, après 15 ans d’absence : ils y installent leur noviciat. La propriété est rachetée à la famille Plessis en 1932 par la Société Immobilière de Veyrines à Ducru, de Mérignac (Gironde).
Chapelle
Sur les plans du cadastre napoléonien de La Guyonnière datant de l’année 1816, on trouve les mentions de deux moulins au lieu-dit de la Gouraudière. L’un est un moulin à vent, l’autre un moulin à eau dont l’inscription sur le plan cadastral est cependant plus tardive. En effet, c’est seulement en juin 1836 que Monsieur Fonteneau, farinier, demeurant au moulin de la Rabotière, également commune de La Guyonnière, demande l’autorisation de construire un moulin à eau sur sa propriété. Celle-ci borde le ruisseau de la Gouraudière et le chemin vicinal allant de La Guyonnière à Montaigu. La permission lui est accordée par une ordonnance royale de Louis-Philippe en date du 9 octobre 1837. Les travaux doivent être exécutés dans un délai d’un an et sont placés sous la surveillance de l’ingénieur de l’arrondissement. Ils seront d’ailleurs vérifiés le 14 décembre 1838. (Achives dépt. vendée, S 532)
Moulin
Dates exactes : du 1er au 17 juin 1534. Source : Arch. dép. Vendée, 1 G 38 : Visites épiscopales des abbayes et prieurés, églises paroissiales et collégiales (1533-1534)