Espace contributeur
La Sèvre nantaise prend sa source en Deux-Sèvres au sud de la commune de Neuvy-Bouin. Après un périple de près de cent-soixante kilomètres à travers le haut-bocage, la rivière rejoint le fleuve Loire à Nantes. La Sèvre matérialise plusieurs fois la limite entre le département de la Vendée et ceux de Loire-Atlantique et de Maine-et-Loire. Son cours sinueux interdit toute navigation mais autorise l’installation de différents ouvrages hydrauliques. Depuis le début du XVIIIe siècle jusqu’au début du XXe siècle, la Sèvre nantaise est la rivière de Vendée possédant le plus grand nombre de moulins à eau et d’infrastructures du même type. Pour le dernier quart du XIXe siècle, on compte pour le seul département de la Vendée trente-cinq moulins à eau, une minoterie, quatre papeteries (à Saint-Hilaire-de-Mortagne, Mortagne-sur-Sèvre, Tiffauges et La Verrie), une blanchisserie à Saint-Laurent-sur-Sèvre et treize usines dont huit filatures.
Cours d’eau secondaires :
1156
Avant 1156, chapelain de "Cugandavum" (Arch. Dép. de Loire-Atlantique, Dom. de Nantes), d'après : DELHOMMEAU, Louis. Églises de Vendée : vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001. 2 vol. (224-232 p.) [Arch. dép. Vendée, BIB MEM 615/1-2]
D'après : GREGOIRE, P. (abbé). Etat du diocèse de Nantes en 1790. Nantes : Impr. V. Forest et E. Grimaud, 1882. XII-272-86 p. [Arch. dép. Vendée, BIB B 1657]
doyenné
D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
doyenné
Apôtres
Les marches se forment progressivement au cours du Moyen Age. Il semble que leur constitution se soit achevée lors de la réunion des comtés de Bretagne et de Poitou dans la main des Plantagenêts. Le premier acte officiel attestant l’existence des Marches communes est le traité d’alliance conclu en 1372 entre Jean IV, duc de Bretagne, et le roi d’Angleterre Edouard III.
D’après : ANTOINE, Annie. Quelques éléments explicatifs de l'attitude des Marchetons pendant la Révolution. In : Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée. (1975), p. 60-61 [Arch. dép. Vendée, BIB PC 16]
Antérieurement à la période an III-1961, le bureaux de contrôle des actes étaient soit celui Clisson (Loire-Atlantique) ou celui de Tiffauges. Toutefois, aucun document n'a été conservé pour ces bureaux. Pour celui de Montaigu, la période est donnée à titre indicatif (durant la période révolutionnaire, certains bureaux ont pu fermer temporairement, obligeant les notaires à se tourner vers les bureaux voisins, voire à négliger la formalité de contrôle et d'enregistrement.)