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La Grande-Maine prend sa source dans la commune des Herbiers près du Petit-Bourg et s’écoule en direction du nord-est. Elle rejoint la rivière Petite-Maine à Saint-Georges-de-Montaigu pour former la Maine. Impraticable pour la navigation, des moulins à eau se sont très tôt installés tout au long de son cours : on en dénombre une dizaine au XVIIIe siècle et presque autant à la fin du XIXe siècle. Depuis les années 1990, la Grande-Maine approvisionne en eau potable les communes alentours grâce au barrage de la Bultière situé dans la commune de Chavagnes-en-Paillers.
Cours d’eau secondaires :
1306
Avant 1306, "de Buxerio" (Gauthier de Bruges), d'après : DELHOMMEAU, Louis. Églises de Vendée : vocables, titulaires et liste des documents relatifs à leur construction et à leurs travaux du XIe siècle à nos jours. 2000-2001. 2 vol. (224-232 p.) [Arch. dép. Vendée, BIB MEM 615/1-2]
D'après : AILLERY, E. Pouillé de l'évêché de Luçon. Fontenay-le-Comte : Impr. Robuchon, 1860. XXXVI-211 p. [Arch. dép. Vendée, BIB 1569]
doyenné
D'après : Annuaire - Diocèse de Luçon. Luçon : Évêché de Luçon, 1927-2006. [Arch. dép. Vendée, BIB PA 1]
doyenné
Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie
Les marches se forment progressivement au cours du Moyen Age. Il semble que leur constitution se soit achevée lors de la réunion des comtés de Bretagne et de Poitou dans la main des Plantagenêts. Le premier acte officiel attestant l’existence des Marches communes est le traité d’alliance conclu en 1372 entre Jean IV, duc de Bretagne, et le roi d’Angleterre Edouard III. Comme les marches communes, les marches avantagères dépendent des deux provinces du point de vue de la souveraineté et de la suzeraineté. Mais seul le seigneur de la province dite « avantagère », en l’occurrence le Poitou, jouit des droits de justice.
D’après : ANTOINE, Annie. Quelques éléments explicatifs de l'attitude des Marchetons pendant la Révolution. In : Annuaire de la Société d'émulation de la Vendée. (1975), p. 60-61 [Arch. dép. Vendée, BIB PC 16]
Antérieurement à la période an III (1795)-septembre 1961, le bureau de contrôle des actes était aussi celui de Montaigu. Toutefois, aucun document n'a été conservé pour ce bureau. La période an III-1961 est donnée à titre indicatif (durant la période révolutionnaire, certains bureaux ont pu fermer temporairement, obligeant les notaires à se tourner vers les bureaux voisins, voire à négliger la formalité de contrôle et d'enregistrement.)
Fondée, au début du XVIIIe siècle, par saint Louis-Marie Grignion de Montfort. Maison mère : Saint-Laurent-sur-Sèvre.
À Asson, entre 1830 et 1833, les chouans ont investis à diverses reprises la maison de Mauclair, qui refusait de s'insurger contre le gouvernement, le menaçant, lui dérobant des sommes d'argent assez importantes et le contraignant à se réfugier à Montaigu par crainte d'autres visites. Source : Arch. dép. Vendée, 21 J 4, canton de Montaigu.
Dates exactes : du 1er au 17 juin 1534. Source : Arch. dép. Vendée, 1 G 38 : Visites épiscopales des abbayes et prieurés, églises paroissiales et collégiales (1533-1534)